vendredi 23 janvier 2015

‪#‎MinusmacontingentNéerlandais‬ est il former pour les operations de "maintien de la paix" Mme la ministre?Que font ils dans l'‪#‎Azawad‬?Pourquoi assassinent ils nos parents???Pourquoi ne condamnez vous pas les crimes de votre "‪#‎arméedoccupation‬?

‪#‎MinusmacontingentNéerlandais‬ est il former pour les operations de "maintien de la paix" Mme la ministre?Que font ils dans l'‪#‎Azawad‬?Pourquoi assassinent ils nos parents???Pourquoi ne condamnez vous pas les crimes de votre "‪#‎arméedoccupation‬?
Minister Hennis bezoekt Nederlandse troepen in Mali.

My short note might sound too simple, but seems to be a good brief translation: 'Neutral' troops under French command now attack their allies, the Tuareg in N Mali. This is against any International laws ... Ethics? Following French politics, ethics never did nor do exist. A shame again

My short note might sound too simple, but seems to be a good brief translation: 'Neutral' troops under French command now attack their allies, the Tuareg in N Mali. This is against any International laws ... Ethics? Following French politics, ethics never did nor do exist. A shame again.Barbara Sabine
Nous portons à la connaissance de l’opinion publique nationale et internationale que de grosses manifestations populaires sont actuellement en cours dans plusieurs...
TAMOUDRE.ORG
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Grande marche a ber Le peuple de l'Azawad demande que la minusma dégage

Oui la géopolitique "sismique" et notre résistance degagerons les cieux sombres au dessus de notre peuple.Les peuples qui sont Justes,démocrates et luttent serieusement contre les extremismes le reconnaitrons et soutiendrons.Ceux qui ont des calculatrices à la place des cerveaux et envoyés par des multinationales criminelles et tout autant terroristes haïrons sa liberté.Ils sont esclaves et jaloux de notre humanité,et notre autonomie vis à vis d'un systéme qui les broient.ILs ne sont plus que des machines qui agissent pour les comptes de quelques obscures actionnaires qui contrôlent leurs politiques et detruisent en eux toute dignité.Ils n'ont plus q'une phrase mécanique pour justifer leurs crimes, comme des automates ou le Commandant du contingent Néerlandais de la‪#‎Munismali‬ :"je ne fais que mon travail"....Ceci remplace toute conscience, toute raison,toute logique...Ils sont devenus des vampires,des terroristes comme ceux qu'ils sont sensés combattre et qu'ils ont contribués à armer pour detruire le monde libre.L'humanité doit RESISTER ET LUTTER contre ces mutants qui ne vivent que pour leurs profits au detriment de autres vies et de notre planète.Vive l'‪#‎Azawad‬ et à bas la ‪#‎Minusmali‬

Ibanakal
Khadijetou Walet a ajouté 5 nouvelles photos.
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Le peuple de l'Azawad demande que la minusma dégage
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Desormais la CMA(Coordination des Mouvements de l'Azawad)doit lutter contre non seulement les milices maliennes,les terroristes et une ‪#‎Minusma‬ dont le jeu trouble est de plus en plus evident

14 h · 
‪#‎TerroristesAqmi‬ pris par le ‪#‎MNLA‬ en train de poser des mines.Desormais la CMA(Coordination des Mouvements de l'Azawad)doit lutter contre non seulement les milices maliennes,les terroristes et une ‪#‎Minusma‬ dont le jeu trouble est de plus en plus evident comme le demontre son attaque contre la CMA.‪#‎AzawadHarkouk‬ Inchallah!!!
Tout ça pour faire mal aux Azawadiens.
Qu'Allah nous assiste. Amine

ONU : Les "soldats de la paix" bombardent les Touaregs 21/01/2015 - 18:17

ONU : Les "soldats de la paix" bombardent les Touaregs

21/01/2015 - 18:17

AZAWAD (SIWEL) — Après la scandaleuse attaque de l’ONU contre les représentants des populations Touaregs de l’Azawad hier, plusieurs manifestations populaires se sont déroulées aujourd’hui dans plusieurs localités de l’Azawad, notamment à Ber, à Kidal, à Aguelhoc, à Tinzawaten et dans d’autres localités encore. L’ONU vient de montrer son absence totale de neutralité et ses soldats viennent clairement d’appuyer une partie contre l’autre dans un conflit où elle était sensée maintenir la paix en vue d’un dialogue et d’un accord de paix.


manifestations touarègues contre les bombardements de l'ONU (PH/DR)
manifestations touarègues contre les bombardements de l'ONU (PH/DR)





























Cette agression perpétrée par les "soldats de la paix" du contingent néerlandais de la force de "maintien de la paix" des Nations unies dans l’Azawad se fait pour la première fois de manière franche et assumée. Ces derniers n'ont ps hésité à procéder à des bombardements aériens contre une des parties en conflit dans l'Azawad et démontre, à qui en doutais, le flagrant parti pris de l’ONU pour le gouvernement malien et contre les populations de l'Azawad qui luttent depuis 50 ans pour leur survie. 

Certes, les peuples discriminés, massacrés par des régimes, dont on loue même les "avancées démocratique", ont toujours su que l’ONU n’a jamais été une organisation neutre; mais cette fois, elle se positionne clairement contre les aspirations du peuple de l’Azawad en vue de briser son combat libérateur et son aspiration à se libérer de la tutelle d'un régime raciste qui a massacré des centaines de milliers de Touaregs en particulier. Ces derniers subissent depuis 50 ans, une véritable ségrégation raciale en raison de l'obstination des nations unies à maintenir un découpage territorial criminel qui consiste à obliger des populations entières à subir des ségrégations et des massacres collectifs sans aucune possibilité de se défendre. 

Hier, la MINUSMA a bombardé des véhicules du MNLA et de ses alliés,faisant au moins 5 morts parmi leurs membres et offrant ainsi un appui direct aux milices ethniques du gouvernement malien, responsables d’exactions ethniques, essentiellement contre les Touaregs et tous ceux qu'ils appellent les "peaux rouge". 

N’arrivant pas à venir à bout de la volonté des Touaregs à recouvrer leur liberté confisqué, l’ONU a décidé d’assumer ses positions en faveur de Bamako et change sans complexe la doctrine de ses "soldats de la paix". 

zp, 
SIWEL 211817 JAN 15 



Mali : ça chauffe de nouveau dans le Nord

  • El Watan
    Mali : ça chauffe de nouveau dans le Nord
    22.01.15 
    Depuis un peu plus d’un mois, il ne se passe pratiquement plus un jour sans qu’il n’y ait des accrochages sanglants entre groupes touareg et milices que les leaders du Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA) accusent d’être «à la solde de Bamako».
    Les deux camps se sont à nouveau affrontés dans la matinée d’hier près de Tarkinte.
    Des hommes armés venus de Gao ont, selon nos sources, attaqué une position contrôlée jusque-là par des mouvements touareg dirigés par le colonel Hassan Ag Fagaga. «Lors de cette bataille, les miliciens pro-Bamako ont perdu 14 éléments et 6 voitures. Nous avons également faits 4 prisonniers», affirme notre source, qui précise en outre que «du côté du colonel Hassan Ag Fagaga, un combattant a été tué». Les miliciens aurait été poursuivis jusqu’à la périphérie de Gao.
    Au moment où nous mettions sous presse, les combats avaient pris fin.
    En revanche, la situation était loin d’être calme à Kidal où des manifestants ont saccagé les installations de la Minusma au niveau de l’aéroport de la ville. Les éléments de la Minusma, auxquels il est notamment reproché de protéger des «criminels», se sont repliés dans un camp de militaires français.
    Dans les environs de Tabankorte où avaient été enregistrés mardi de violents combats entre les deux camps, un cessez-le-feu était observé hier. Les groupes et mouvements touareg (MNLA, HCUA et MAA) ont perdu 10 combattants dans les combats. «Défaits», les miliciens ont quant à eux regagné à la hâte le village de Tabankorte sous la protection des forces de la Minusma. C’est, mentionne-t-on, au moment de la retraite de ces milices qu’un hélicoptère de la Minusma a mitraillé une position des mouvements touareg.
    Inutile de dire que l’intervention de la Minusma a été décriée hier avec véhémence par la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA). L’on parle même de fracture. Dans tous les cas, pour la CMA, "il n’est plus question de partenariat avec la Minusma dans la lutte contre l’insécurité dans la région depuis cet acte d’iniquité.
    Acte qui pourrait avoir des conséquences sur les négociations en cours".
    Des délégués des mouvements touareg rencontreront certainement aujourd’hui le représentant spécial des Nations unies pour le Mali pour «exiger des explications concernant ce grave dérapage et les collusions constatées entre la Minusma et les milices armées qui activent à Tabankorte».
    Les miliciens, accusés de «rouler au profit de Bamako» ont, indique-t-on, pour base principale justement cette localité située à 200 km au nord-est de Gao, où se trouve un détachement de la Minusma. Cela fait dire, d’ailleurs, aux mouvements touareg que «miliciens pro-Bamako et trafiquants de drogue sont protégés par les forces des Nations unies». Ces miliciens en question partiraient de Tabankorte pour mener des opérations contre les positions armées des mouvements (MNLA, HCUA, MAA). Les affrontements entre les deux camps ont commencé le 16 janvier dernier, mais ils étaient moins violents que ceux enregistrés mardi.
    Pour les mouvements touareg, il est important de neutraliser les miliciens de Tabankorte car, selon eux, «ils menacent les négociations de paix au Mali». Certains leaders touareg disent même que ce qui s’est produit mardi pourrait être le grain de sable qui risque de bloquer toute la machine des négociations inclusives intermaliennes mise en place en août dernier. Ces négociations, faut-il le rappeler, sont censées entamer leur dernière ligne droite en février prochain à Alger.
    La médiation internationale conduite par l’Algérie, qui mise beaucoup sur ce dernier round, est donc prévenue. Rien n’est encore gagné.
    Zine Cherfaoui - ElWatan

dimanche 18 janvier 2015

17/01/2015 à 17:43
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Libye: l'ambassade d'Algérie attaquée à l'explosif, 3 blessésLibye: l'ambassade d'Algérie attaquée à l'explosif, 3 blessés © AFP
Des assaillants ont attaqué samedi l'ambassade d'Algérie à Tripoli, désertée par la majorité des diplomates étrangers depuis l'été, faisant trois blessés dont un policier, selon une source de sécurité.
La branche libyenne du groupe Etat islamique (EI) a revendiqué l'attaque contre le bâtiment dans un court message accompagné d'une photo et diffusé sur Twitter, a rapporté Site, centre de surveillance américain des sites islamistes.
L'ambassade algérienne était fermée, à l'instar de la plupart des représentations étrangères qui ont évacué leurs personnels à Tripoli dans l'été, en raison des violents combats ayant conduit à la prise de contrôle en août par la coalition de milices Fajr Libya (Aube de la Libye) de la capitale et de son aéroport international.
Dans la matinée, les assaillants ont jeté "un sac rempli d'explosifs" en direction d'une voiture de police gardant le bâtiment, situé dans le centre ville de Tripoli, a rapporté la source de sécurité libyenne.
L'un des policiers en faction et deux passants ont été blessés, tandis que l'ambassade et des voitures garées à proximité ont été endommagés, a-t-elle ajouté.
Le ministre algérien DES AFFAIRES étrangères, Ramtane Lamamra, a condamné l'attaque sans préciser si elle avait fait des victimes, a rapporté l'agence algérienne APS.
Des ambassades de pays arabes ont depuis l'été fait l'objet de plusieurs attaques, avec notamment l'explosion de deux voitures piégées devant les ambassades d'Egypte et des Emirats arabes unis en novembre.
Le siège de l'organisme libyen en charge de la sécurité des missions diplomatiques a été visé par un attentat similaire fin décembre.
La Libye est plongée dans le chaos depuis la chute de Mouammar Kadhafi au terme de huit mois de conflit en 2011.
Livré aux milices, le pays est dirigé par deux Parlements et deux gouvernements rivaux, l'un proche des miliciens de Fajr Libya, qui ont annoncé vendredi un "cessez-le-feu" sur tous les fronts, et l'autre reconnu par la communauté internationale.
LIBYE ONU EI 

Libye: l'ONU peut-elle vraiment trouver une issue à la crise?

mediaL'émissaire de l'ONU pour la Libye, Bernardino Leon, avec des membres du gouvernement de Tobrouk, LE SEUL reconnu par la communauté interantionale.REUTERS/Pierre Albouy
Fajr Libya, une importante coalition de milices libyennes, qui contrôle notamment Tripoli, a annoncé vendredi un cessez-le-feu sur tous les fronts. Dans le même temps, l'ONU tente toujours de lancer un processus de discussions de paix à Genève.
Par communiqué la Misnul (la force des Nations unies pour la Libye) annonçait hier que les parties libyennes participant à la réunion étaient parvenues à un accord sur un agenda en vue de former un gouvernement d'unité nationale. Seul problème, parmi ces parties, SEULES LES autorités du gouvernement de Tobrouk sont représentées. Le gouvernement rival de Tripoli refuse toujours de participer à ces négociations de paix.
« Ce communiqué est sans fondement, il n'engage que l'ONU. Ni le Congrès général national ni les membres de Fajr Libya n'étaient présents aux négociations de Genève. » Ces mots sont ceux d'un conseiller ministériel du gouvernement de Tripoli, non reconnu par la communauté internationale. Le discours tranche avec l'optimisme affiché par la mission de l'ONU pour la Libye évoquant des discussions « constructives » menées dans une « atmosphère positive » à Genève, permettant un accord pour un agenda en vue de former un gouvernement d'union nationale.
Car ces discussions ont essentiellement été menées avec des représentants du gouvernement rival de Tobrouk, LE SEUL reconnu par la communauté internationale car issu des élections de juin dernier. Un gouvernement dont le Parlement est réfugié sur un ferry grec et pour lequel combattent les forces du général Haftar à Benghazi, mais aussi l'armée tribale de la ville de Zintan au sud-ouest de Tripoli.
En revanche, les autorités non reconnues par la communauté internationale, celles INSTALLÉES au pouvoir à Tripoli par les armes de la coalition de milices islamistes Fajr Libya en août, ne participent pas à ces discussions.
Même chose pour leurs alliés jihadistes d'Ansar al-Charia qui combattent à Benghazi les forces fidèles au gouvernement de Tobrouk. Sans parler de la branche libyenne de l'Etat islamique à Derna qui cherche à étendre son influence sur l'ensemble du pays. Une absence qui réduit considérablement les chances de l'ONU de ramener la paix en Libye.