dimanche 2 juin 2013

NDLR/C'est plus grave qu'on ne pensait.Le chef terroriste Cheïbane Ould Hama s'est evadé de la prison de Niamey!!



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il y a 5 minutes · 
Niger: des terroristes se sont évadés de la prison de Niamey

NIAMEY - Une vingtaine de détenus, dont plusieurs terroristes, se sont évadés lors des troubles survenus samedi à la prison de Niamey, a annoncé dimanche le gouvernement nigérien.

Cette évasion a eu lieu une dizaine de jours après un double attentat suicide dans le nord du Niger, revendiqué par des groupes jihadistes qui ont mis en cause la participation de ce pays à l'intervention franco-africaine au Mali voisin.

Les événements d'hier (samedi) ont permis l'évasion d'environ 22 personnes, parmi lesquelles des terroristes, a déclaré lors d'un point presse le ministre de la Justice Marou Amadou.

Parmi ces personnes il y a le nommé Chedani qui était déjà condamné pour l'assassinat de quatre Saoudiens et d'un Américain. Ce monsieur est activement recherché, a-t-il indiqué, sans plus de précision.

Le terroriste cité, de son vrai nom Cheïbane Ould Hama, est désormais recherché par les services de sécurité maliens.

Cheïbane Ould Hama, un grand criminel de nationalité malienne, figure parmi les personnes évadées samedi d'une prison nigérienne. Nous le recherchons activement sur notre territoire, a déclaré à l'AFP à Bamako une source sécuritaire malienne.

Nous ne savons pas s'il a pu quitter le Niger pour venir sur notre territoire, a toutefois souligné cette source.

Nous travaillons en étroite collaboration avec les autorités nigériennes pour que ce criminel et les autres ne s'échappent pas. Ils constituent un danger pour la région, a relevé une autre source sécuritaire malienne.

Cheïbane Ould Hama avait été extradé au Niger et condamné pour le meurtre de quatre touristes saoudiens en décembre 2009, tués dans l'attaque de leur convoi dans la zone frontalière entre le Niger et le Mali.

Le ressortissant américain auquel il est fait allusion avait été tué en 2000 devant un bar de la capitale nigérienne.

Concernant les fugitifs, nous demandons la collaboration de la population pour les intercepter aux frontières de notre pays partout où ils se trouvent, a lancé M. Amadou.

Selon le dernier bilan, trois gardiens ont été tués lors de l'évasion de samedi, l'un des trois gardiens blessés ayant succombé, a poursuivi le ministre, par ailleurs porte-parole du gouvernement.

Les autorités avaient évoqué samedi une tentative d'évasion perpétrée par des détenus déjà inculpés pour +association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste+.

Il ressort des premiers constats établis sur les lieux que les agresseurs ont manifestement bénéficié de complicités extérieures quant à l'arme introduite dans la prison, a souligné le ministre de la Justice.

Une enquête a été ouverte et les Nigériens doivent rester sereins et assumer leur devoir de vigilance, a-t-il insisté.

Le Niger, qui subit depuis plusieurs années des attaques et des rapts commis par Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), est sous forte tension après avoir été frappé le 23 mai dans le Nord par deux attentats suicide, les premiers de son histoire.

Les deux attaques quasi-simultanées contre le grand camp militaire d'Agadez, la principale ville du Nord, et un site d'uranium du groupe nucléaire français Areva à Arlit (à plus de 200 km au nord) avaient fait plus de vingt morts, essentiellement des militaires nigériens.

Ces attentats ont été revendiqués par le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao) et un autre groupe jihadiste, les Signataires par le sang de l'Algérien Mokhtar Belmokhtar.

Cet ex-responsable d'Aqmi a menacé de frapper de nouveau le Niger et les autres pays engagés militairement au Mali, où une intervention franco-africaine a permis depuis janvier de reprendre le Nord aux islamistes armés qui le contrôlaient depuis 2012.

(©AFP / 02 juin 2013 21h18)

Released Aug 30, 2011 | WikiLeaks | Edited by CrethiPlethi
Al-Qaeda in the Islamic Maghreb (AQIM) and the Movement for Tawhid and Jihad in West Africa (MUJAO) threaten to kill hostages in northern Mali. (AFP/Serge Daniel)
On February 2, 2010, Malian security forces apprehended Cheibani ould Hama (a.k.a. Alhassan ould Mohammed). Cheibani has been accused of participating in the kidnappings of four western tourists along the Mali/Niger border in late December 2008/early January 2009. These were later sold to Al Qaeda in the Islamic Maghreb (AQIM).
Cheibani is also implicated in the kidnapping of Kounta chief Baba ould Sidi Elmoctar. He is in addition the prime suspect in the murders of USDAO-Niamey employee William Bultmeier in December 2000 and in the killing of four Saudi nationals in Niger in December 2009.

Source: WikiLeaks
ReferenceCreatedClassificationOrigin
10BAMAKO752010-02-09 09:27SECRET//NOFORNEmbassy Bamako
VZCZCXYZ0000
PP RUEHWEB
DE RUEHBP #0075 0400927
ZNY SSSSS ZZH
P 090927Z FEB 10
FM AMEMBASSY BAMAKO
TO RUEHC/SECSTATE WASHDC PRIORITY 1118
INFO RUEHAS/AMEMBASSY ALGIERS 0719
RUEHNM/AMEMBASSY NIAMEY 0355
RUEHNK/AMEMBASSY NOUAKCHOTT 0316
RUEHRH/AMEMBASSY RIYADH 0012
RUEAIIA/CIA WASHDC
RHEFDIA/DIA WASHDC
RHMFISS/HQ USAFRICOM STUTTGART GE
RHMFISS/HQ USEUCOM VAIHINGEN GE
RUFOADA/JAC MOLESWORTH RAF MOLESWORTH UK//DOAM//
S E C R E T BAMAKO 000075
SIPDIS
NOFORN
E.O. 12958: DECL: 02/09/2020
TAGS: PINS PREL PTER ML
SUBJECT: MALIAN SECURITY SERVICE ARRESTS CHEIBANI OULD HAMA
Classified By: Political Counselor Peter Newman for reasons 1.4 (b) and
(d)
¶1. (S) On February 2, 2010, Malian security forces
apprehended Cheibani ould Hama (a.k.a. Alhassan ould
Mohammed). Cheibani has been accused of participating in the
kidnappings of four western tourists along the Mali/Niger
border in late December 2008/early January 2009. These were
later sold to Al Qaeda in the Islamic Maghreb (AQIM).
Cheibani is also implicated in the kidnapping of Kounta chief
Baba ould Sidi Elmoctar. He is in addition the prime suspect
in the murders of USDAO-Niamey employee William Bultmeier in
December 2000 and in the killing of four Saudi nationals in
Niger in December 2009.
¶2. (S) Three Embassy contacts have stated that Malian
security forces, probably the DGSE (Mali’s intelligence
service), arrested Cheibani in Gao, Mali. One source stated
that members of his ethnic fraction (from Kidal) arrested
Cheibani and turned him over to the DGSE, but was unwilling
to provide further information.
¶3. (S/NF) The Saudi Embassy to Bamako appears to have exerted
pressure on the GOM to capture Cheibani. Saudi Ambassador
Fawaz Meshel Al Timyat told POL and TDY LEGATT that King
Abdallah calls frequently for an update on the case. Al
Timyat also said he spoke directly with Malian President
Amadou Toumani Toure (ATT), Minister of Internal Security
Gassama Sadio, and DGSE Chief Colonel Mamadou Coulibaly about
Cheibani both before and after the arrest. He believed the
DGSE arrested Cheibani in Kidal and transferred him first to
Gao and then to Bamako over a two day period. (Note: To the
best of Post,s knowledge, Cheibani was arrested in Gao, not
Kidal. End note.) Al Timyat explained to the GOM that
relations between his government and the GOM would be very
strained were Cheibani not apprehended and justice not
delivered.
¶4. (S/NF) LEGATT explained to Al Timyat that the Bultmeier
case was still open, and the USG was interested in
coordinating with the Saudi Government regarding Cheibani.
Al Timyat said his government is interested in obtaining from
Cheibani information regarding his accomplices as well as an
admission of guilt. Al Timyat said his government does not
intend to request the extradition of Cheibani to Saudi
Arabia, or to Niger, where the crime against the Saudis was
committed.
¶5. (S/NF) Al Timyat said it was important that the identity
of the Cheibani in custody is verified to be the same
Cheibani who committed the attack on Saudi citizens. He
twice brought up a rumor that Cheibani had been declared dead
after being imprisoned in 2001-2002. Legatt told Al Timyat
that if the USG were granted access to the fingerprints of
the Cheibani in DGSE custody, the USG would be able to
confirm his identity using the fingerprints taken during
Cheibani’s first imprisonment.
MILOVANOVIC

Mali: la situation s'envenime à Kidal

MALI - 
Article publié le : dimanche 02 juin 2013 à 19:16 - Dernière modification le : dimanche 02 juin 2013 à 20:09


Soldats du MNLA à Kidal le 4 février 2013.
Soldats du MNLA à Kidal le 4 février 2013.
REUTERS/Cheick Diouara

Par RFI
Ce dimanche 2 juin, le MNLA a revendiqué l’arrestation à Kidal, dans le nord du Mali, de plusieurs personnes accusées d’être des espions à la solde de l’Etat malien. Il y aurait parmi eux plusieurs militaires. Dans le même temps, la population noire de la ville se sent de plus en plus menacée. Kidal, majoritairement touarègue, est toujours contrôlée par les indépendantistes touaregs du MNLA, tandis que Bamako ne cesse d’affirmer sa volonté d’y faire entrer l’armée malienne.



Le MNLA (Mouvement national de libération de l'Azawad) revendique l’arrestation d’au moins huit capitaines de l’armée malienne à Kidal. « Plusieurs dizaines de personnes » ont été interpellées, les enquêtes à leur sujet continuent.
« Les militaires maliens et les personnes liées aux services de renseignements maliens seront considérés comme des prisonniers, annonce un représentant du mouvement indépendantiste touareg. Ils sont détenus à la gendarmerie du MNLA de Kidal. Les autres seront libérés », assure cette source.
Par ailleurs, plusieurs témoignages font état du pillage de deux commerçants Songhaï, de peau noire, ce samedi, par des hommes du MNLA. « C’est faux, aucune boutique ni aucune maison n’a été pillée », affirme le MNLA, qui ajoute : « Nous n’allons pas remettre en cause notre légitimité avec ce type d’actes irresponsables ».
Le groupe armé rappelle qu’il entend éviter tout affrontement entre les populations et qu’il compte assurer la sécurité des personnes de teint noir. Reste que selon plusieurs témoignages, de Songhaï mais aussi de Touaregs noirs, nombreux sont ceux qui se sentent menacés et n’osent plus sortir de chez eux.
Des évènements qui ne vont pas aider à sortir de l’impasse les négociations en cours entre le MNLA et Bamako, sur la situation dans cette ville de Kidal.

RFI a joint un doyen de la communauté songhaï. Il est caché avec ses proches, la peur au ventre, dans sa maison. Son témoignage :
« Depuis 6h30 du matin, des groupes du MNLA ont envahi tous les quartiers de Kidal, en ramassant toutes les peaux noires, en leur disant qu’ils soutiennent le gouvernement de Bamako, donc ils vont les enfermer tous et ils vont les rapatrier sur Gao. Cela fait depuis avant-hier, ils disent que les Noirs qui sont ici ne les soutiennent pas dans leur indépendance.
Donc, actuellement, tout le monde est caché dans les maisons. Ils sont même rentrés dans les maisons des gens pour les faire sortir de force. Il y a mon neveu qui a été arrêté, nous sommes plus d’une trentaine cachés dans une maison, par la grâce de Dieu, on ne nous a pas pris.
Parce qu’il y a quelqu’un qui est connu, un notable de Kidal, qui a envoyé des gens pour nous protéger. Ce sont des gens du MIA [Mouvement islamique de l’Azawad, ndlr] qui sont venus, armés jusqu’aux dents. Ils sont repartis, ils nous ont donné leur numéro de téléphone, au cas où nous pouvons les appeler, et ils viendront à notre secours.
Il faudra que l’armée française intervienne pour nous libérer de ce casse-tête, car vraiment, ça ne va pas ».

Au sein du MNLA, on dément toute exaction contre les communautés dites «noires». Joint par RFI, le porte-parole du mouvement, Mossa Ag Attaher, affirme que c'est l'arrestation d'un élément des services de renseignements de l'armée malienne à Kidal qui a entraîné la vague d'arrestations.
« Il n’y a pas un seul cas d’exaction. Le MNLA a tenu, depuis qu’on est entré à Kidal, à ce que les populations soient traitées à égalité. Il n’y a pas un seul bien qui soit touché, ni un commerce qui soit touché, c’est de l’intox, de la manipulation. Il y a eu des arrestations, suite à des informations concordantes, sur des cas d’infiltration d’agents maliens et de militaires maliens habillés en civil et qui arrivaient par vagues successives en transport en commun dans la ville de Kidal.
La preuve la plus palpable, c’est l’arrestation d’un capitaine de l’armée malienne habillé en civil. Il a confirmé qu’il y a en tout huit capitaines maliens qui sont dans la ville de Kidal et il y a plusieurs dizaines de personnes qui sont arrêtées, pour les identifier et retrouver les différents agents de la sécurité d’Etat malienne qui sont dans la ville de Kidal. Les personnes sur lesquelles il n’y aura pas de preuve d’appartenance aux services maliens seront relâchées ».
TAGS: MALI - MNLA

Niamey/attaque terroriste (suite):Un homme vient d etre abattu a côté du lycée kouara .parait il c un terroriste . Présentement le corps est tjrs déposé . Le quartier est bouclé..

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Libye : la CPI refuse de ne pas poursuivre Seif el-Islam Kaddafi | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique

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Mali : les groupes touaregs refusent toujours l'armée malienne à Kidal | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique

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La ville d'Agadez : la grande mosquée, les anciens quartiers


La ville d'Agadez : la grande mosquée, les anciens quartiers
http://whc.unesco.org/fr/listesindicatives/5039/

Description
Niger
Date de soumission : 26/05/2006

Catégorie : Culturel

Soumis par :
Ministère de la Culture, des Arts et de la Communication - Dir. du patrimoine Culturel et des Musées

Etat, province ou région :
Region: Agadez

Coordonnées N7 E8

Ref.: 5039


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Les noms des biens figurent dans la langue dans laquelle les Etats parties les ont soumis.




Agadez est une ville très ancienne. Elle aurait été fondée vers le XIème siècle par des tribus Touareg qui auraient décidé de se sédentariser, au moins en partie et qui pour la gouverner auraient créée le sultanat de l'Air, avec un rôle de conciliateur pour toutes les tribus de la région. Agadez devient ainsi la capitale politique de l'Aïr mais aussi un centre économique important, favorisée par sa situation géographique privilégiée.

Agadez va de ce fait jouer un grand rôle dans le commerce transaharien. Elle devient un vrai port du désert qui permit au sultanat de s'enrichir, de rayonner et de devenir très puissant. La ville va devenir aussi un grand centre artisanal pour le travail du cuir et des métaux, par la même occasion, un centre de production d'arme de poing.

Au XVème siècle, la ville avait été fortifiée et plusieurs nouveaux quartiers se sont s'ajoutés. C'est à cette époque que fut construit le minaret de la grande mosquée par Zakarya.

A partir du XVIIème siècle des troubles internes éclatent entre tribus Touareg rivales, entrainant de grands mouvements de population vers le sud et la décadence de la ville à la fin du XIXème siècle.

Malgré ce déclin, Agadez a toujours gardé sa structure particulièrement originale, fondée autour de campements qui, progressivement construits en terre s'est transformée en îlots. Beaucoup de bâtiments anciens sont encore présents et correspondent toujours aux activités sociales particulières d'Agadez : palais du sultan, mosquée du vendredi, maison du cadi, palais de l'Anastafidet palais du sultan Almoumoune...Et même si plusieurs styles de périodes différentes se superposent, Agadez présente toujours une belle unité et une architecture traditionnelle élaborée qui témoignent sa structure sociale et culturelle.


Satements of authenticity and/or integrity

L'authenticité ne peut être jugée qu'en rapport avec la signification du site et ses réalités culturelles.

Agadez conserve beaucoup de ses bâtiments les plus significatifs et ceux-ci sont dans leur grande majorité en bon état. Pourtant certains d'entre eux ont été délaissés et sont dégradés (Palais du Sultan Almoumoune, Palais de l'Anastafidet...). C'est aussi le cas de plusieurs maisons.

Agadez étant un site vivant, on ne peut s'attendre à ce qu'il soit totalement figé, sans pouvoir s'adapter aux contextes socioculturels et économiques qui évoluent. Ceci a déjà été une réalité dans le passé et il est effectivement possible de discerner différentes périodes ou influences. Toutefois, les interventions récentes dans le tissu ancien commencent à profondément modifier l'aspect de la vieille ville. Il faut néanmoins noter que le tissu urbain d'Agadez présente des possibilités naturelles de réaménagement et d'adaptation au contexte contemporain. Dans ce sens, on constate des innovations techniques intéressantes de combinaison de matériaux et techniques traditionnels avec des matériaux récents affirmant une véritable continuité culturelle. Les nouveaux développements dans la vieille ville doivent s'inspirer de ces innovations.

Le site dans sa dimension et ses caractéristiques semble intact. Mais dans le cas d'une ville comme Agadez, il est clair que de nombreuses modifications ont eut lieu au cours du temps.
Comparison with other similar properties

Les villes historiques de Mauritanie ont été classées en rapport avec leur rôle de centres commerciaux et de diffusion de l'islam en Afrique noire. Tombouctou a plutôt mis en valeur le rôle très important qu'a joué son université pour la diffusion de l'islam en Afrique de l'Ouest. Gao a classé le tombeau des Askia autour du rôle historique de l'Askia Mohamed dans la région et comme symbole de la puissance et du rayonnement de l'empire Songhoy au XVème siècle.

Une des spécificités d'Agadez, par rapport à ces autres villes historiques situées juste au dessous du Sahara réside dans son développement et son organisation autour du rôle régional spécifique du sultanat de l'Aïr.

Si son architecture se rapproche de celle de Tombouctou, elle a cependant des éléments spécifiques avec la forme du minaret de la Grande Mosquée, les motifs décoratifs, l'utilisation des voûtes nervurées, ainsi qu'un tissu urbain avec des rues plus larges et de nombreuses placettes.

L'étude de la ville tend d'ailleurs à démontrer que les îlots actuels ont été définis par la construction successive de bâtiments en remplacement des tentes sur des lieux de campement familiaux, ce qui explique la présence de ces rues très irrégulières et de ces nombreuses places et placettes. C'est une véritable spécificité urbaine d'Agadez.

Mali: le MNLA et le Haut conseil de l'Azawad ont trouvé un accord

BURKINA FASO / MALI - 
Article publié le : dimanche 02 juin 2013 à 05:06 - Dernière modification le : dimanche 02 juin 2013 à 05:52


Des membres du MNLA à Kidal, le 4 février 2013.
Des membres du MNLA à Kidal, le 4 février 2013.
REUTERS/Cheick Diouara

Par RFI
Apres 48 heures de discussions, le Mouvement national de liberation de l’Azawad (MNLA) et le Haut conseil pour l’unité de l’Azawad (HCUA) ont signé un protocole d’accord. Ils parleront désormais d’une seule et même voix à la table des négociations. Ils veulent mettre en place une plateforme politique commune de revendications pour les négociations avec le gouvernement malien, mais exigent avant un signal fort de Bamako.



Le MNLA et le HCUA iront aux négociations avec une seule commission composée de 33 membres : 23 issus du MNLA et dix du HCUA. Une deuxième commission sera mise en place pour superviser le respect de l’accord cadre. Les deux parties ont également convenu d’unir leurs efforts pour la sécurisation et la lutte contre le narcoterrorisme dans le nord du Mali.
Dans la foulée, les deux mouvements ont remis au chef de la diplomatie burkinabè, un accord cadre relatif au règlement du conflit qui les oppose au gouvernent malien. Le MNLA et le HCUA demandent au gouvernement malien des signes d’engagement sincère, avant toute négociation. Parmi ces signes, on peut citer la libération des prisonniers politiques du MNLA détenus par Bamako, l’arrêt des pillages et exactions dont seraient responsables l’armée malienne et le retrait de toutes les forces de défense et de sécurité malienne du territoire de l’Azawad.
Les deux mouvements exigent que l’Etat du Mali reconnaissent que le territoire de l’Azawad est encore une zone de conflit, et surtout que le Mali reconnaisse le droit à l’autodétermination du peuple de l’Azawad.
Retrait de l'armée 
Concernant les élections, le MNLA et le HCUA acceptent l’organisation de la présidentielle mais ils insistent sur le retrait de l’armée malienne du territoire de l’Azawad, tout en promettant de repositionner leurs troupes pour permettre le déploiement des soldats de la Minusma (Mission internationale de soutien au Mali).
Selon le porte-parole des deux mouvements, l’armée malienne n’a aucun rôle à jouer dans le système électoral et d’ajouter que, conformément à la dernière résolution des Nations unies, c’est la Minusma qui sera chargée de la sécurisation du processus électoral.
Le chef de la diplomatie burkinabè s’est réjoui de cet accord entre le MNLA et le HCUA. Selon Djibrill Bassolé, tous les autres points seront mis sur la table de discussion afin que les différentes parties trouvent des modalités du redéploiement de l’administration et de l’armée malienne à Kidal.
TAGS: BURKINA FASO - MALI - MNLA

Un important membre présumé d'al-Qaïda remis par les Etats-Unis à la Mauritanie

MAURITANIE / ETATS-UNIS - 
Article publié le : samedi 01 juin 2013 à 19:29 - Dernière modification le : samedi 01 juin 2013 à 19:33


La prison de Bagram, au nord de Kaboul.
La prison de Bagram, au nord de Kaboul.
REUTERS/Omar Sobhani

Par RFI
Un prisonnier mauritanien accusé de terrorisme aurait été remis par les Etats-Unis aux autorités mauritaniennes vendredi 31 mai dans la soirée. D'après une source judiciaire, il s'agirait de Youssouf al-Mauritani, un important membre présumé d'al-Qaïda, arrêté au Pakistan en 2011, et qui aurait été détenu depuis sur la base américaine de Bagram en Afghanistan.

D'après une source judiciaire spécialisée dans les dossiers de terrorisme, un prisonnier mauritanien accusé de terrorisme aurait bien été remis vendredi soir aux autorités de Nouakchott. « Il s'agit de Youssouf al-Mauritani, qui était détenu sur la base de Bagram en Afghanistan et faisait l'objet d'un mandat d'arrêt international émis par la Mauritanie », a déclaré cette source.
En septembre 2011, les autorités pakistanaises annoncent l'arrestation de Youssouf al-Mauritani et de deux autres membres présumés d'al-Qaïda, à Quetta, une ville du sud-ouest du pays. La Maison Blanche se félicite alors de l'arrestation, résultat selon Islamabad, de la coopération entre ses services de renseignement et la CIA.
Le prisonnier aurait ensuite été transféré sur la base américaine de Bagram, en Afghanistan. Au moment de son arrestation, les autorités pakistanaises affirment qu'al-Mauritani tient un rang élevé au sein d'al-Qaïda. Selon le communiqué d'alors, il aurait pris directement ses ordres d'Oussama Ben Laden, qui l'aurait chargé de préparer des attaques contre des intérêts américains, européens et australiens.
En Mauritanie, Youssouf al-Mauritani est soupçonné d'avoir participé à une attaque menée en 2005 par l'ex-GSPC, devenu al-Qaïda au maghreb islamique (Aqmi) deux ans plus tard, contre le poste militaire de Lemgheity, au nord-est du pays. Dix-sept soldats avaient été tués.
Al-Mauritani aurait également pris part à une fusillade entre des terroristes présumés et les forces de sécurité, en avril 2008, à Nouakchott, qui avait coûté la vie à un policier et à deux jihadistes présumés.

samedi 1 juin 2013

Le president Issoufou et son ministre des affaires etrangères à force de provocations et de fanfaronnades à l'encontre de ces groupes terroristes laisse le pays s'en prendre plein le pif et ça serait presque ironique si cela ne cache pas une vraie tragedie

Niger/attaques successives des terroristes depuis une semaine soit 3: une à Arlit,une à agadez le même jour et une autre aujourd hui à Niamey à la prison civile en plein centre residentiel.Ces attaques sont revendiqués par Aqmi,Mujao et Boko haram.Le president Issoufou et son ministre des affaires etrangères à force de provocations et de fanfaronnades à l'encontre de ces groupes terroristes  laisse le pays s'en prendre plein le pif et ça serait presque ironique si cela ne cache pas une vraie tragedie..à laquelle se retrouve confronté l'armée et le petit peuple qui se rendent compte de plus en plus du degré d'exposition auquels ils sont confrontés.en effet le Niger est entouré à l'est par une Libye instable livré aux guguerres islamistes et miliciens de tous bords pour ne pas dire livré au chaos,au sud par le Nigeria en proie à des violences indescriptibles entre Boko haram et l'armée d'un côté mais aussi entre les chretiens et les musulmans,à l'ouest le Malistan qui est devenu l'arrière base des groupes terroristes tels que Aqmi et Mujao,au nord par l'Algerie veritable base arrière d'Aqmi et autres trafics vers le sahel,au nord est par le Tchad passage incessant des trafics d'armes et autres mercenaires qui alimentent les conflits de la sous region.Voila l'epicentre volcanique danslequel "vogue le Niger"...et c'est cette fragilité et vulnerabilité  que rappelaient tous les acteurs de ce pays à leur president et ministre des affaires etrangères en leur intimant l'ordre de moderé leur prise de positions fantasques et puerilles pour la nation.Au Niger un proverbe dit ;"y'a un medicament qui s'appelle bois et sens.."le peuple ne peut que sentir...à present embarquer dans la grande vadrouille meurtrière et incertaine de la lutte anti-terroriste.
Yaya Hankali?

Niger: l’attaque dans la prison de Niamey a été menée par des islamistes de Boko Haram

NIGER - 
Article publié le : samedi 01 juin 2013 à 19:56 - Dernière modification le : dimanche 02 juin 2013 à 00:19


Un policier nigérien escorte l’un des suspects arrêté après l’attaque sur la prison de Niamey, ce samedi 1er juin dans l’après-midi.
Un policier nigérien escorte l’un des suspects arrêté après l’attaque sur la prison de Niamey, ce samedi 1er juin dans l’après-midi.
RFI / Moussa Kaka

Par RFI
La prison civile de Niamey, située en centre-ville, a été la cible d’une attaque, ce samedi 1er juin. Le bilan officiel fait état de deux morts et trois blessés parmi les gardes pénitentiaires. Selon les autorités, trois membres du groupe Boko Haram détenus dans la prison ont été maîtrisés. Cette nouvelle attaque survient après le double attentat du 23 mai contre le camp militaire d'Agadez et le site du groupe nucléaire français Areva à Arlit. Plus de détails sur cette nouvelle attaque à la prison de Niamey.



L’attaque a été menée à l’intérieur de la prison civile de Niamey. C'est en tous cas la version donnée par les autorités. Plusieurs détenus de la secte islamique Boko Haram du Nigeria voisin ont tenté de se révolter. En planifiant leur action, ils se sont procurés un pistolet automatique, certainement avec des complicités. Avec ce pistolet, ils ont tué à bout portant les deux premières sentinelles de la garde nationale.
La réaction rapide du régisseur en chef et de ses hommes a permis d’arrêter vivants les trois terroristes de Boko Haram, qui sont actuellement entre les mains de la brigade antiterroriste de Niamey.

Comment des éléments de Boko Haram, emprisonnés depuis quelque temps à Niamey, se sont-ils procuré une arme à feu et des munitions ? La question, que beaucoup se posent à Niamey, est aussi celle qui occupe les enquêteurs.
« Toutes les pistes » sont actuellement envisagées
En fin de journée, ce samedi, le calme est revenu aux alentours de la prison civile de Niamey. À tous les coins de rue de Niamey, cette seconde attaque terroriste, après celle d’Arlit et d’Agadez le 23 mai dernier, est sur toutes les lèvres.
Le ministre de l’Intérieur et celui de la Justice se sont rendus à la prison civile de Niamey. Le procureur de la République, Moussa Waziri, a déjà fait un premier bilan, et une enquête a été ouverte.
Il a expliqué que l’attaque avait été menée « entre 15 h et 15 h 30 » (soit entre 14 h et 14 h 30 TU). « Trois malfaiteurs, qui ont déjà été inculpés d’association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste, écroués à la prison civile de Niamey, ont tenté une évasion massive », a rapporté le procureur de la République de Niamey.
« Ils ont agressé les gardes. Les gardes ont riposté. De cette situation, le bilan primaire fait état de deux gardes qui ont été tués. Nous dénombrons également trois blessés. Mais grâce à la maîtrise de ces gardes, les trois assaillants ont été maîtrisés », a-t-il affirmé. Précisant que « l’enquête ouverte a été confiée au service central de lutte contre le terrorisme », Moussa Waziri a également insisté sur le fait que « toutes les pistes » sont actuellement envisagées.
TAGS: BOKO HARAM - NIGER - TERRORISME

ATTAQUE PRISON CIVILE DE NIAMEY

Niger: la prison de Niamey attaquée par des hommes armés



Par Le Monde - Date: il ya 3 heures 53 minutes 3 réactions


Taille de la police:


NIAMEY - La prison de Niamey, la capitale du Niger, a été attaquée samedi par des hommes armés, qui ont tué au moins deux gardes pénitentiaires, a-t-on appris de sources concordantes.

Interrogé par l'AFP, le ministre nigérien de la Justice Marou Amadou a parlé dans un premier temps de l'attaque d'un groupe armé non identifié, avant d'affirmer que ces violences étaient le fait de quatre détenus poursuivis pour terrorisme, dont trois ont été arrêtés.

Il s'agit de quatre individus détenus à la prison civile de Niamey et poursuivis pour terrorisme, a indiqué M. Amadou, par ailleurs porte-parole du gouvernement.

Trois ont été pris, vivants, et le quatrième est à l'intérieur de la prison, a-t-il poursuivi, sans fournir de précision sur leur identité.

Deux gardes ont été tués et un autre gravement blessé, a-t-il ajouté, assurant que désormais la situation est contenue, maîtrisée par les forces de l'ordre.

Ces détenus avaient déjà des armes sur eux, une enquête doit déterminer l'origine de ces armes. Mais ils ont aussi pu saisir l'arme d'un garde, a ajouté M. Amadou.

Un peu plus tôt, le ministre avait affirmé que la prison civile de Niamey a été attaquée. Il s'agit d'un groupe armé que nous n'avons pas encore identifié, avait-il dit.

On entend des tirs depuis la prison centrale. Tout le monde est barricadé chez lui, a rapporté en début d'après-midi un riverain de la prison, située dans le centre de la capitale nigérienne entre un quartier résidentiel et des casernes militaires.

Les tirs ont cessé plus tard dans la prison, encerclée par les forces de l'ordre, selon des témoins.

C'est la panique partout, nous avons très peur, a toutefois raconté une habitante du quartier. Selon elle, le grand marché de Niamey tout proche a fermé.

Ces troubles surviennent alors que le Niger a été frappé le 23 mai par deux attentats suicide, les premiers de son histoire.

Deux attaques quasi-simultanées contre le grand camp militaire d'Agadez, la principale ville du Nord, et un site d'uranium du groupe nucléaire français Areva à Arlit (à plus de 200 km au nord) avaient fait plus d'une vingtaine de morts, essentiellement des militaires nigériens.

Ces attentats ont été revendiqués par le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao) et un autre groupe jihadiste, les Signataires par le sang de l'Algérien Mokhtar Belmokhtar.

Cet ex-responsable d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a menacé de frapper de nouveau le Niger et les autres pays engagés militairement au Mali, où une intervention franco-africaine a permis depuis janvier de reprendre le nord du pays aux islamistes armés qui le contrôlaient depuis 2012.


(©AFP / 01 juin 2013 19h23

Source: Le Monde

Mali : L' Impossible Synthèse De François Hollande Entre le MNLA et Bamako


mercredi 29 mai 2013

source : diktacratie.com


François Hollande et récemment sa concubine ont beau parler de pays uni, le Mali a mal à Kidal, cette ville du nord du pays où l’armée malienne reste interdite de séjour. À moins de deux mois d’une improbable élection présidentielle, le fief de toutes les rébellions touarègues est une source de cauchemar pour le pouvoir central de Bamako, à 1 500 km de là.


Dans la foulée du pu-putsch opéré en mars 2012 par le capitaine Sanogo, les indépendantistes touaregs du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA), avaient, non sans précipitation, prononcé la sécession du nord du pays. Avant de se faire proprement dégager de toutes les cités du septentrion malien par leurs alliés d’Aqmi (al-Qaïda au Maghreb islamique) et d’Ansar Dine, qui n’avaient plus besoin d’eux.


Une fois les narco-bandits du Qatar ventilés à leur tour par les forces spéciales françaises et tchadiennes, Kidal est repassé l’air de rien sous le contrôle du MNLA, avec bien sûr l’assentiment de François Hollande. Pas question de se passer du talent des Touaregs pour se mouvoir dans le massif de l’Adrar des Ifoghas, siège de la mortelle partie de chat-bite menée contre les derniers résidus barbus par la France.


Parfaitement conscient du soutien de la France de "Papa Hollande", le MNLA n’a pas hésité à narguer Bamako, en interdisant aux soldats maliens de pénétrer dans Kidal. Un affront, sachant que c’est précisément le MNLA qui a entamé les hostilités dès janvier 2012, provoquant quelques semaines plus tard la fanfaronnade de Sanogo et de ses bérets verts.


Le souvenir, à Kidal, des massacres qui ont systématiquement suivi toutes les tentatives de soulèvement touareg depuis «l’indépendance» du Mali en 1960 reste bien sûr un élément non négligeable du contentieux.


La tenue du scrutin présidentiel, à Kidal et ses environs, en juillet prochain, offrait deux options au gouvernement de transition de Dioncounda Traoré : cogner ou négocier. Une intervention militaire aurait signifié un glissement vers la guerre civile, tandis que la négociation a au moins l’avantage d’alimenter le statu quo, ce qui peut en fin de compte arranger beaucoup de monde dans l’histoire. À commencer par françois Hollande, qui en son Elysée, jure d’être « intraitable » sur la question de la tenue de l’élection présidentielle malienne, et qui dans le même temps, ménage le MNLA à Kidal.


Le président Traoré a donc opté pour la négociation, qu’il n’hésite cependant pas à polluer avec des déclarations franchement agressives, promettant la foudre à Kidal. Souffler le chaud et le froid, où comment s’assurer que rien ne bouge.

à 11:10
Libellés : mali

Niger: la prison de Niamey attaquée par un groupe armé

NIGER - 
Article publié le : samedi 01 juin 2013 à 19:56 - Dernière modification le : samedi 01 juin 2013 à 19:56


Une vue du grand marché, dans le centre de Niamey.
Grand marché, Niamey, Niger
Roland Huziaker
Une vue du grand marché, dans le centre de Niamey.

Par RFI
La prison civile de Niamey, située en centre-ville, a été attaquée par un commando terroriste dans l'après-midi, ce samedi 1er juin. Deux gardiens ont été tués. Un assaillant a été abattu par balle, un autre est parvenu à entrer dans la prison où il se serait fait exploser. Deux autres assaillants auraient été arrêtés. L’attaque contre cette prison qui renferme plusieurs islamistes n’a pour l’instant pas été revendiquée.

Vers 15 heures, heure locale (16h TU), quatre jihadistes se sont approchés à pied de la prison. Arrivés au niveau de la porte principale, ils ont ouvert le feu à l'arme automatique. Deux gardiens ont été tués.
Deux membres du commando terroriste sont morts, l'un tué d'une balle, le second se serait infiltré dans la prison et aurait fait exploser une ceinture d'explosifs, d'où la forte explosion entendue par les riverains. Les deux derniers jihadistes auraient été arrêtés.
La tension est grande autour de la prison, qui est située en plein centre-ville, même si la situation semble désormais contrôlée par l'armée nigérienne.
Les enquêteurs tentent de trouver des éléments pour connaitre l'origine du commando. Mujao ? Aqmi ? Difficile, pour le moment, de savoir qui est derrière cette attaque qui n'a pas été revendiquée.
TAGS: NIGER - TERRORISME
FICHE PAYS :

Terrorisme :le MNLA et Niger menacés/Tawhid et Jihad annonce les noms des auteurs des attentats du Niger, et parlent de leurs opérations dans le nord du Mali



Tawhid et Jihad annonce les noms des auteurs des attentats du Niger, et parlent de leurs opérations dans le nord du Mali
Nord Mali - Sahara Médiaswith Google translateSaturday, 1 Juin 2013 - 16:56






Réunion Unification et Jihad lors du contrôle de la ville de Gao (désert Media)Confirmé le Tawhid et Jihad en Afrique de l'Ouest, que les récentes attaques contre le nord du Niger de la mise en œuvre de chacun des Salman désert Jaafar et Khubayb Altmahqi, notant que les attaques étaient «avocat à nos frères au Nigeria, et de punir Niger pour sa coopération avec la France dans la guerre dans le nord du Mali.Le groupe Tawhid et Jihad, dans un communiqué publié samedi (05/01/2013), "L'opération qui visait une caserne militaire Okdaz ville, la plus grande ville dans le nord-est du Niger, et l'usine d'uranium à ArlitA été coordonnée avec le Bataillon de sang soussigné ", qui est dirigé par Mokhtar Belmokhtar, connu sous le nom de" Belaoar ".Le groupe a ajouté que "les coûts de fonctionnement du Niger et la France pertes humaines et matérielles, en disant", notant que "le martyre de Salman désert a fait exploser sa bombe à l'intérieur de la caserne militaire de Okdaz", a également confirmé que les éléments portant des ceintures d'explosifs ont arrêté un certain nombre d'officiers de l'armée du Niger.En ce qui concerne l'attaque, dont le groupe nucléaire français Areva usine d'enrichissement ciblé'S, le communiqué précise que «martyre Jafar et le martyre Khubayb Altmahqi Les voitures piégées à l'aube à l'intérieur de l'usine", notant que l'explosion "a conduit à la destruction de l'usine et cesser de fonctionner."Et considéré comme le groupe dans un communiqué diffusé par la Fondation stationnés, Wing médias Unification et Jihad, que les attentats du Niger, qui a eu lieu le vendredi (24/05/2013), vise à "défendre à nos frères au Nigeria, en frappant Niger en raison de sa coopération avec la France dans la guerre contre la charia», selon dit-elle.La déclaration, qui est entré sous le titre "le résultat des récentes opérations militaires pour le Tawhid et Jihad en Afrique de l'Ouest", qui comprenait des détails d'un certain nombre d'opérations sur sa tête, selon le communiqué «processus Gao du martyre», en plus des attaques dans les villes de Manica et Goose.Ces opérations également inclus des affrontements avec des combattants du Mouvement national pour la libération de l'Azawad, dans la ville de Manica, en plus de l'attaque sur la ville Anviv, le vendredi (17/05/2013), une attaque qui a été adopté mouvement Alozoadah arabe le tandis que les éléments liés du mouvement Tawhid et Jihad national.Il a déclaré que le communiqué publié par le Tawhid et Jihad, a déclaré que "les moudjahidines ont attaqué une stratégie Onviv", il est sous le contrôle du Mouvement national pour la libération de l'Azawad, qu'il a décrit la déclaration comme un «agent», les accusant de travailler à «répandre la terreur et la peur parmi les musulmans naïfs, et les chasser et pillant leurs biens et expulsés de la ville et de ses banlieues ».Dans la même déclaration de la veine accusé le Mouvement national de l'exécution d'un certain nombre de citoyens, en croyant que c'est la justification de l'attaque sur la ville et "un certain nombre d'entre eux ont été tués et le reste a fui les composants clients du Mouvement", soulignant que le mouvement "invoqué, en France et a demandé l'appui de la ville de Kidal."

Niamey-Niger /prison civile/Gardes republicains,police,gendarmerie, et forces anti-terroristes encerclent la prison,terroristes venus de tres loin..1 garde tué,3 terroristes tués et 2 pris vivants ça continue..Source FR24


Niger : la prison de Niamey attaquée par un "groupe armé" | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique

Niger : la prison de Niamey attaquée par un "groupe armé" | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique

Niger : la prison de Niamey attaquée par «un groupe armé» (ministre)

RFI/Dernière info publiée le samedi 01 juin 2013

La prison de Niamey a été attaquée samedi par un "groupe armé" non identifié, tuant au moins deux gardes pénitentiaires, a déclaré le ministre nigérien de la Justice Marou Amadou.

La prison civile de niamey vientd etre attaquer par un homme arme plusieurs gardes militaires tues en ce moment meme/Ibrahim M. Tanimoune


L'Afrique doit reprendre la main sur ses ressources naturelles




Le Monde.fr | 28.05.2013 à 08h55 • Mis à jour le 28.05.2013 à 12h51

Par Winnie Byanyima (directrice générale d'Oxfam International)






Plusieurs pays africains comptent actuellement parmi les économies les plus dynamiques au monde, avec une croissance alimentée, dans plusieurs cas, par les nouvelles découvertes de réserves de pétrole, de gaz naturel et de minerais stratégiques.

Sur le continent, l'extrême pauvreté est en recul et la progression vers les objectifs du Millénaire pour le développement s'est accélérée. Plusieurs pays africains très pauvres, dont le Malawi, la Sierra Leone et l'Éthiopie, ont dernièrement considérablement réduit les inégalités de revenus.

Pourtant, des millions d'Africaines et d'Africains ne bénéficient pas de la croissance impressionnante que connaît le continent.

Un tiers des personnes les plus pauvres de la planète vivent en Afriquesubsaharienne, laquelle compte six des dix pays les plus inégalitaires au monde. Là où les inégalités de revenus sont importantes, les bienfaits de la croissance économique demeurent inaccessibles aux couches pauvres de la population. La pauvreté et l'exclusion nuisent à la stabilité sociale, entravant la productivité des investissements et jusqu'à la croissance même.

Le potentiel du continent est en outre affaibli par l'hémorragie de capitaux – souvent due à l'évasion fiscale et la manipulation des prix de transfert par lessociétés pétrolières, gazières et minières, et ce avec la complicité de fonctionnaires corrompus. En 2010, les exportations africaines de pétrole, de gaz et de minerais s'élevaient à 333 milliards de dollars.

FLUX ILLICITES DE CAPITAUX

Mais selon les estimations, l'Afrique perdrait jusqu'à 200 milliards de dollars par an dans le cadre de flux illicites de capitaux. En comparaison, l'aide au développement reçue paraît dérisoire. Les inégalités de revenus et les flux illicites de capitaux dépouillent l'Afrique de ses richesses et de précieux moyens d'investirdans l'éducation, l'agriculture et la santé – des secteurs essentiels à une population active.

Les dirigeants d'entreprises et les responsables politiques africains réunis au Cap du 8 au 10 mai à l'occasion du Forum économique mondial sur l'Afrique doivententendre le message suivant : pour que l'Afrique puisse réaliser tout son potentiel,vous devez soutenir les millions de laissés-pour-compte de la croissance économique. Sinon, le progrès social et économique restera au ralenti sur le continent.

Le mois dernier, l'Union européenne est parvenue à un accord sur une réglementation qui imposera aux sociétés pétrolières, gazières, minières et forestières de déclarer les sommes versées aux autorités publiques des pays dans lesquels elles opèrent. Cet accord vient renforcer une législation récemment promulguée aux États-Unis dans le cadre de la loi de réforme financière Dodd-Frank, et je m'en réjouis.

La transparence est un excellent outil ; elle va pousser les gouvernements àrendre compte de la façon dont ils dépensent les fonds qu'ils reçoivent à titre de droits d'exploitation et de royalties.

LOI SUR LA GESTION DES RECETTES PÉTROLIÈRES AU GHANA

Quelques États africains prennent des mesures pour gérer leur patrimoine naturel de façon responsable. Au Ghana, la loi sur la gestion des recettes pétrolières nationales rend obligatoire la déclaration trimestrielle des paiements et des volumes de production, tandis qu'au Liberia, l'Initiative volontaire pour la transparence dans les industries extractives (EITI) a désormais force obligatoire.

Mais l'Afrique ne pourra pas s'en sortir seule. Moteur de l'économie africaine, le secteur privé détient, s'il se comporte de manière responsable, la clé d'un développement économique équitable et durable. Les politiques et les pratiques des entreprises doivent respecter les droits des populations des pays où elles opèrent. Les sociétés doivent informer et consulter les communautés locales touchées par les projets d'extraction et leur accorder la possibilité d'approuver ou de rejeter un projet avant le début des opérations.

Pour leur part, les partenaires du développement de l'Afrique peuvent apporter une aide qui favorisera la bonne gouvernance et donnera à la société civile les moyens de rappeler les dirigeants à leur obligation de rendre des comptes.

Nous assistons à une ruée sur les ressources naturelles de l'Afrique, qui n'est pas sans rappeler l'époque de la révolution industrielle en Europe. Il est urgent et impératif que, dans chaque pays, des politiques se mettent en place pour protéger les droits et les intérêts des Africaines et Africains, et plus particulièrement celles et ceux qui vivent dans la pauvreté.

Si l'on veut maintenir des taux de croissance élevés, la priorité doit aller à l'établissement de politiques inclusives qui garantissent le caractère durable et équitable de la croissance. Il faut injecter une part autrement plus importante des revenus générés par le boom des ressources naturelles directement dans l'éducation, la santé et la nutrition. Sinon, nous risquons de saper les efforts visant à stimuler la croissance économique de manière durable.

Il est temps de changer la donne pour les populations pauvres d'Afrique, de leuraccorder plus d'équité pour que les ressources de l'Afrique bénéficient à tous ses habitants.

Azawad/boycottez les élections pas des doigts dans l'encre avant notre autonomie!!!



Je me demande au non de quoi l'Azawadien devrait voter, la France nous sommets de façon humiliante en nous imposant de voter pour un homme et un système qu'on a pas choisit . Cher(E)S Azawadiens et Azawadiennes hommes et femmes, jeunes et vieux votre destin par ce vote même qu'on essaye de vous imposer est entre vos mains . Vous n'avez aucune arme pointez contre la tète pour vous obliger a voter . Aucun leader politique , ni mouvement armé ne peut vous l'imposer , alors si vous votez sans que la communauté internationale ne satisfasse vos doléances , vous n aurez qu'a vous en prendre a vous-même. N'abandonner pas l'Azawad sans quoi le temps vous fera payer vos erreurs comme toujours.
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Au Mali, les négociations entre l’Etat et les indépendantistes touaregs sont dans l’impasse

MALI - 
Article publié le : samedi 01 juin 2013 à 07:24 - Dernière modification le : samedi 01 juin 2013 à 07:24


Des membres du MNLA à Kidal, le 4 février 2013.
Des membres du MNLA à Kidal, le 4 février 2013.
REUTERS/Cheick Diouara

Par RFI
Depuis plusieurs jours, les deux parties discutent sous l’égide du médiateur burkinabè, à Ouagadougou. Le but est de régler la situation dans la ville de Kidal, toujours contrôlée par le Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) et dans laquelle la France et les soldats ouest-africains de la Mission internationale de soutien au Mali (Misma) sont présents, mais toujours pas l’armée malienne. Ce qui pose évidemment un problème pour l’organisation de l’élection présidentielle prévue au mois de juillet. Les discussions sont intenses depuis plusieurs jours, mais n’aboutissent pas.



« Les concessions faites par le MNLA ont des limites qui ne peuvent être dépassées ».
Le message est clair : les indépendantistes touaregs n’acceptent pas les propositions qui leur sont faites. En particulier le retour de l’armée malienne sur le sol de Kidal.
Pour Bamako, cette présence de l’armée nationale est une exigence, mais le MNLA dénonce une série d’exactions commises ces derniers jours dans le nord du Mali, à Gossi ou encore à Douentza. Des exactions ciblant des populations touarègues et attribuées directement à l’armée malienne ou à des milices travaillant avec elle.
Le MNLA affirme qu’il « demeure conscient que la conclusion d’un accord-cadre entre le MNLA et le Mali est nécessaire », mais que « cet accord ne peut en aucun cas faire fi de la politique d’épuration que mène l’armée malienne ». Le mouvement touareg demande ainsi à la communauté internationale de faire respecter les droits de l’homme.
Spectre d'une attaque militaire
C'est donc un échec, pour le moment, des discussions. Bamako n’a cessé de rappeler, ces derniers jours, qu’ « il ne pouvait y avoir deux armées dans le pays » et que la présence de l’armée nationale, avant même le premier tour de la présidentielle, le 28 juillet prochain, était un impératif.
Un échec définitif des négociations ferait ressurgir le spectre d’une attaque militaire, dont les populations civiles ne sortiraient pas indemnes.
TAGS: DIONCOUNDA TRAORÉ - MALI - MNLA

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Niger: l'arrêt de l'usine d'Areva attaquée coûte 27 millions d'euros par mois | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique

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