dimanche 1 avril 2012



  • CEDEAO joue de l’injustice entre ses fils :


    Nous informons la communauté international que l’Azawad est entrain de subir la vraie complicité de quelques états africains et c’est impardonnable de la part du peuple innocent de l’Azawad et ses combattants.
    La presse malienne a avoué que le mali a reçu des grandes quantités d’armes venant de la part des pays amis du mali pour lui venir en aide en fin de combattre les combattants du MNLA .
    Nous condamnons ces actes inhumains et injustes envers des hommes qui se battent pour leur liberté mais aussi le droit de vivre sur leur terre natale qui a été confisqué par les autorités maliennes et nous appelions l’union africaine à régler ce problème le plus vite possible avant que ça tourne mal.
    Pour ceux qui n’ont pas des connaissances sur cette institution, elle a été crée en 1975 par le traité de Lagos, elle entre en vigueur en 1977. Communauté Economique des Etats d’Afrique de l’Ouest. (CEDEAO).
    Ses Etas fondateurs sont le Sénégal, le Mali, la Côte d’Ivoire, la Guinée Conakry, le Niger, le Burkina Faso, le Togo, le Benin, le Cape Vert, le Liberia, le Nigeria, la Mauritanie ; la Guinée Bissau, la Sierra Léone, la Gambie, le Ghana. Cette institution a pour objectif de bien assurer les citoyens de ces pays membres dont les combattants du MNLA font partis de ce traité aussi pourquoi ceci sont entrain d’utiliser ce droit contre leurs citoyens eux-mêmes.
    Homme de droit de l’Afrique et d’ailleurs veillés signalés cette injustice dont les fils de l’Afrique sont victimes précisément ceux de l’Azawad.

Libye: Les violences au sud du pays ont fait 147 morts en une semaine

Mis à jour le 31.03.12 à 22h02
Les affrontements entre milices rivales ont fait 147 morts en une semaine dans le sud de la Libye, a annoncé ce samedi le gouvernement de Tripoli, selon lequel un accord de cessez-le-feu a été conclu entre les deux camps.

Apparemment déclenchés par une tentative de vol de voiture, les combats ont opposé d'anciens combattants anti-kadhafistes de l'oasis de Sebha à des guerriers toubous, pour la plupart originaires duTchad.
Un cessez-le-feu serait entré en vigueur

Outre les 147 morts, les violences qui se sont concentrées dans la ville de Sebha ont fait 395 blessés, dont 187 ont été transportés à Tripoli pour y être soignés, a précisé la ministre de la Santé, Fatima al Hamroush.

Le Premier ministre intérimaire Abdourrahim el Keib a assuré à la presse qu'un cessez-le-feu négocié par le gouvernement était entré en vigueur, mais plusieurs autres trêves annoncées ces derniers jours n'ont tenu que quelques heures.

En février, des dizaines de personnes avaient péri dans des combats entre tribus dans la province de Koufra, dans le sud-est du pays. L'armée était intervenue pour faire cesser ces affrontements.
Reuters


Libération complète de la Région de Gao

Apres avoir lancé l’offensive le 17 janvier 2012 à Ménaka (région de Gao), face à l’invasion militaire malienne dans l’Azawad, le Mouvement National pour la libération de l’Azawad viens de mettre fin à l’occupation malienne sur toute cette région, par la prise et le contrôle de la ville de Gao ce samedi 31/03/2012.
Le Mouvement National de Libération de l'Azawad informe que le drapeau flotte partout dans la ville et que la région de Gao est désormais sous son contrôle et administration.
Le Mouvement National de libération de l’Azawad informe que son Etat-major cerne la ville de Tinbouctou, pour déloger le reste de l’Administration politique et militaire malienne pour le bonheur du peuple de l’Azawad.
Le Mouvement National de libération de l’Azawad, en appel la C.E.D.E.A.O (Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest) à plus de retenu face à son message d’ingérence militaire dans l’Azawad, et l’invite à jouer pour l’option politique afin de  rétablir la paix.
Bakaye Ag Hamed Ahamed
Chargé de Communication, Informations et relais avec les Médias

AZAWAD HISTORIQUE LIBRE


ERNIÈRE MODIFICATION : 01/04/2012 

AMADOU TOUMANI TOURÉ - CÉDÉAO - COUP D'ÉTAT - MALI - TOUAREGS


Après avoir pris Gao, les rebelles touaregs encerclent Tombouctou

Après avoir pris Gao, les rebelles touaregs encerclent Tombouctou

Rien ne semble pouvoir freiner la progression des rebelles touaregs, qui fondent, ce dimanche, sur Tombouctou, dernière ville du nord du Mali encore tenue par les forces gouvernementales. La junte au pouvoir à Bamako demande l’aide des pays voisins.

Par FRANCE 24  (texte)
 
Le nord du Mali est sur le point de passer entièrement sous la domination des rebelles touaregs. Le Mouvement national pour la libération de l'Azawad (MNLA) assure, ce dimanche 1er avril, que ses forces encerclent Tombouctou.


Des tirs à l’arme lourde ont été entendus à proximité du camp militaire de la ville, dernier bastion des forces régulières maliennes dans le nord du pays.
Le MNLA annonce, via un communiqué, "que son état-major cerne la ville de Tombouctou pour déloger le reste de l'administration politique et militaire malienne pour le bonheur du peuple de l'Azawad [la région du nord du Mali]".
La rébellion enchaîne les prises depuis la mi-janvier et le déclenchement d’une offensive menée par le MNLA et des groupes islamistes. Les insurgés ont intensifié leurs attaques ces derniers jours,s’emparant, vendredi, de Kidal et, samedi, de Gao, une ville qui servait de base à l’état-major des forces gouvernementales dans le nord du Mali.
"Notre armée a besoin de l'aide des amis du Mali"


Depuis le récent coup d’État, qui a renversé le président Amadou Toumani Touré (dit "ATT"), c’est une junte militaire, emmenée par le capitaine Amadou Sanogo, qui est au pouvoir au Mali. Des putschistes qui assurent avoir pris le pouvoir du fait de l’incapacité du régime d’ATT à endiguer la rébellion touareg.
Mais face à l’avancée rebelle, Amadou Sanogo a été contraint de lancer, vendredi, un appel à la communauté internationale. "Notre armée a besoin de l'aide des amis du Mali pour sauver la population et l'intégrité territoriale du Mali", a-t-il déclaré depuis la caserne de Kati, à proximité de Bamako, qui sert de QG à la junte.
Si la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao), a condamné le putsch au Mali et demandé le retour de l’ordre constitutionnel, le président ivoirien, Alassane Ouattara, a toutefois indiqué, ce samedi, que l'organisation politique ouest-africaine avait "mis en alerte" une force armée de 2 000 hommes, dans le but de "préserver à tout prix l'intégrité territoriale du Mali".
Après leur rendez-vous raté du 29 mars avec la Cédéao, trois représentants de la junte se sont rendus, ce samedi, à Ouagadougou pour s'entretenir avec le président burkinabè Blaise Compaoré, médiateur de la Cédéao dans la crise. À l'issue de la rencontre, les putschistes ont promis qu'ils proposeraient "très rapidement" des mesures pour rétablir un pouvoir civil.


Libye : 8.000 ex-rebelles entrent à la Défense

Par Europe1.fr avec AFP
Publié le 31 mars 2012 à 17h17Mis à jour le 31 mars 2012 à 17h18
     
  •  
Le ministère libyen de la Défense a annoncé samedi avoir enregistré plus de 8.000 ex-rebelles afin de les former à la protection des frontières et des sites stratégiques, notamment pétroliers.
"Les 8.000 personnes inscrites viennent de toutes les régions de la Libye", a déclaré le vice-ministre de la Défense Sadek al-Obeidi à l'occasion de la signature d'un accord sur le recrutement de ces anciens rebelles.
L'accord prévoit la formation de 8.055 anciens combattants qui seront déployés pour protéger les vastes frontières de la Libye et ses installations pétrolières stratégiques.
"Beaucoup d'entre eux viennent de régions proches des champs pétroliers et ont déjà protéger des installations pétrolières ces derniers mois", a ajouté Sadek al-Obeidi, précisant que la formation allait durer six semaines.
Inquiètes de la prolifération des armes et de la multiplication des incidents entre groupes armés, les nouvelles autorités ont lancé un plan visant à réintégrer dans la société les quelque 200.000 ex-rebelles qui avaient combattu le régime de Mouammar Kadhafi, tombé en octobre 2011.

MNLA encercle Tombouctou


MALI - 
Article publié le : dimanche 01 avril 2012 - Dernière modification le : dimanche 01 avril 2012


Vue aérienne de la ville de Tombouctou au Mali.
Vue aérienne de la ville de Tombouctou au Mali.
Alida Jay Boye

Par RFI
Ce dimanche 1er avril dans la matinée, les rebelles touaregs du MNLA affirment « cerner » Tombouctou, dernière ville du Nord du Mali encore contrôlée par l'armée malienne, après s'être emparés samedi de la ville de Gao. Dans un communiqué, le Mouvement national pour la libération de l'Azawad (MNLA) « informe que son état-major cerne la ville de Tombouctou pour déloger le reste de l'administration politique et militaire malienne pour le bonheur du peuple de l'Azawad [la région du Nord du Mali] ».

Des tirs ont été entendus ce dimanche matin à Tombouctou où l'agitation règne actuellement. De nombreux militaires de l’armée régulière se sont habillés en civils pour quitter leur garnison et se mettre à l’abri.
Les boutiques sont fermées. On entend des coups de feu dans des quartiers. On voit aussi, selon des témoins, des miliciens arabes, les bérabiches, qui ont pris la défense de la ville en mains.
Ils sont épaulés par des militaires de l’armée régulière issus de la même communauté arabe. Tous sont armés. Certains de ces miliciens ont tenté de prendre de force des véhicules de l’Etat.
Aucun rebelle n’est visible dans la ville. Il ne sont pas non plus vers le camp militaire comme on le pensait, en tout cas pas pour le moment.

Le MNLA a pris ce samedi le contrôle de Gao, avec l'appui du mouvement islamiste Ansar Dine. Gao, une ville stratégique, qui abritait l'état-major pour tout le Nord du pays.
Dans un premier communiqué lu par la radio-télévision nationale, le chef des mutins au pouvoir à Bamako avait pourtant affirmé que les soldats avaient repoussé l'attaque. Mais dans un second texte, diffusé dans la foulée, le capitaine Sanogo a finalement ordonné aux militaires d'abandonner leurs positions.
La prise de Gao intervient à quelques heures de la fin de l'ultimatum lancé à la junte par la Cédéao. La Communauté Ouest-africaine a donné aux mutins jusqu'à ce lundi pour rétablir l'ordre constitutionnel dans le pays. A défaut, elle mettra en place un embargo diplomatique et financier. Entre autres mesures prévues, des interdictions de voyager, le gel d'avoirs, le rappel d'ambassadeurs, la fermeture de ports ou encore la fermeture des frontières.
En attendant l'application de l'embargo, le dialogue continue. Ce samedi, une délégation de la junte s'est rendue à Ouagadougou pour rencontrer le médiateur, le président burkinabé Blaise Compaoré. Sur place, la délégation malienne a dit être d'accord pour un rétablissement rapide de la légalité constitutionnelle, sans plus de détails. Dans la foulée, le chef de la diplomatie burkinabè Djibrill Bassolé s'est déplacé à Bamako, où il a rencontré le capitaine Sanogo.
TAGS: MALI
FICHE PAYS :

intervention de Gamou sur rfi voir 22h30