jeudi 4 août 2011

Alain Juppé estime qu'il n'y a pas d'enlisement en Libye



 - Publié le 04/08/2011 à 21:25
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PARIS (Reuters) - Le ministre français des Affaires étrangères, Alain Juppé, a nié jeudi que le conflit en Libye soit menacé d'enlisement tout en reconnaissant que la coalition internationale avait sous-estimé la capacité de résistance des forces loyales au colonel Mouammar Kadhafi.
"On ne peut pas parler d'enlisement. Ça fait cinq mois que nous intervenons, personne n'a jamais parlé de guerre éclair", a-t-il dit sur France 2.
"Sans doute avons-nous sous-estimé la résistance des forces de Kadhafi mais il n'y a pas enlisement", a-t-il ajouté en soulignant la progression des troupes du Conseil national de transition (CNT) dans l'ouest et le sud de la Libye.
Alain Juppé a encore estimé qu'il n'y avait pas de dissensions au sein du CNT et indiqué que la coalition internationale conduite par la France et la Grande-Bretagne continuait de lui faire confiance.
"Nous continuons à travailler avec eux comme nous travaillons aussi à chercher une solution politique parce qu'il est évident que la solution ne sera pas en définitive militaire. Il faut simplement, et c'est pour nous la ligne rouge, que Kadhafi comprenne qu'il n'a plus vocation à exercer le pouvoir en Libye", a-t-il déclaré.
A propos de la Syrie, le ministre a indiqué que la France accentuerait ses pressions pour faire cesser les violences dans le pays et que l'autorisation du multipartisme par le président Bachar al Assad n'était pas une réponse à la hauteur des attentes de la communauté internationale.
"Nous allons continuer à accentuer la pression", a-t-il dit après la déclaration du Conseil de sécurité condamnant l'usage de la force contre la population syrienne.
Il a indiqué qu'il était difficile de mobiliser des pays comme la Russie pour obtenir une condamnation plus ferme du gouvernement syrien.
"Nous avons beaucoup de mal à faire bouger les Russes. Nous avons commencé à le faire et nous allons continuer à exercer cette pression en espérant qu'elle sera plus positive", a-t-il dit.
"La réponse qui consiste à dire de la part du régime syrien 'nous allons désormais autoriser le multipartisme' n'est évidemment pas à la hauteur de ce que nous demandons : ce que nous demandons, c'est l'arrêt de la répression violente !".
Yann Le Guernigou, édité par Philippe Bas-Rabérin

La scorte militaire sur les axes d'Agadez suprimée

latouramar
Nouveau


Inscrit le: 22 Juin 2011
Messages: 10
Localisation: Arlit niger
MessagePosté le: Jeu 04 Aoû 2011 10:00    Sujet du message:.Répondre en citant

Voilà cinq ans que les voyageurs se suivent la "queue leu leu" sur les axes "goudronés" de la region d'Agadez, le gouverneur Maitchido vient de decreter la fin de ce calvaire populaire intauré à raison peut etre et maintenu sans raison. "Le glouton Yandaka" et "la poche trouée Aba Malan Boukar" par peur des bidas (non pas par peur des bandits) n'ont rien pu faire pour ameliorer une situation qui ne repond à aucune logique securitaire. Si non comment comprendre qu'une armée nationale ne peut pas securiser autrement que par convoi, une distance de 250km. Meme en Afganistan ce systeme s'existe pas. Dans le cas d'Agadez s'a duré parceque il y a de l'argent dans les deux sens: les militaires touchent des perdiums et les voleurs devalises les passagers. 
j'espere seulement qu'une mascarade ne soit organisée par ceux qui sont abitués aux gains, pour une reprise rapide du convoi militaire . Pour eviter cela , il faut instaurer la tolerence zero, chaque acte sur cette route doit etre suivi de l'arrestation ou l'aneantissement de son vrai commanditaire dans le meilleur delai. donc exigé des vrais resultats aux militaires pas des montages à la television nationale. Donc plus jamais cette histoire de convoi fnancé à grand frais avec l'argent de AREVA, l'argent doit servir au developpement local pour eviter le banditisme.

source Agadez Niger

Les sorties de disques au mois d'août


Publié le 04-08-11 à 12:02    Modifié à 12:00     Réagir

PARIS (AP) — Voici une sélection de disques attendus au mois d'août.
Jay-Z & Kanye West: "Watch the Throne" (Roc a Fela Records) devrait sortir le 16 août chez Universal. Il s'agit du premier album studio en commun des rappeurs Jay-Z et Kanye West.
Le neuvième album studio de Lenny Kravitz, "Black and White America", sortira le 22 août chez Roadrunner/ Atlantic. Un opus dans la lignée du répertoire de l'artiste, mélange de rock, de funk ("Push" et "Super Love"), voire d'électro ("Booty Pop"). Sur les douze titres figurent "Dream", une ballade au piano, et "Black and White America", une chanson personnelle inspirée du mariage mixte de ses parents. Lenny Kravitz sera en tournée en Europe à la rentrée. Il donnera huit concerts en France (le 15 octobre à Amiens, le 18 octobre à Strasbourg, le 20 à Montpellier, le 21 à Toulouse, le 23 à Nantes, le 28 novembre à Lyon et le 29 à Paris à Bercy.
"Aznavour Toujours" est le titre du nouveau disque de Charles Aznavour, qui vient de fêter ses 87 ans. Il paraîtra chez EMI le 29 août. Charles Aznavour sera à l'Olympia du 7 septembre au 06 octobre 2011 puis en tournée dans toute la France. Le chanteur publiera aussi un livre le 1er septembre, "D'une porte l'autre", chez Don Quichotte Éditions.
Le cinquième album de David Guetta, "Nothing But the Beat", sortira le 29 août chez EMI. David Guetta a fait appel à de nombreux artistes comme Will.i.am, Usher, Snoop Dogg, Akon, Flo-Rida ou Ludacris.
Le nouvel opus du collectif de musiciens touaregs, Tinariwen, intitulé "Tassili", sera dans les bacs le 29 août (V2 Music). Chant de l'exil, ce blues saharien a commencé à touché un large public en Occident avec "Amassakoul" en 2004, et "Aman Iman" en 2007. Tinariwen est né de la rencontre de trois Touaregs auxquels se joindront plus tard deux chanteuses. Ils mélangeant raï et chaâbi au blues malien. Qualifiée de blues touareg, leur musique hypnotique a traversé les frontières. Thom Yorke de Radiohead s'en serait inspirée sur son album "The Eraser".
Le nouvel album du groupe Housse de Racket, intitulé "Alésia", sortira le 30 août chez Kitsuné/Cooperative Music. Après "Forty Love", leur premier opus sorti en 2008 qui contenait notamment le titre "Oh Yeah!", les Parisiens (Pierre Leroux et Victor le Masne) reviennent avec un album de pop de 11 titres produits par Philippe Zdar, fondateur de Cassius, l'un des collaborateurs des Beastie Boys, Phoenix, ou The Rapture. Dans cet album, Housse de Racket, qui a beaucoup voyagé ces derniers temps, multiplie les références à l'histoire nationale française ("Alésia", "Empire", "T.G.V"). Il évoque aussi une fin du monde programmée pour 2012 ("Apocalypso").
Les Red Hot Chili Peppers sortiront leur dixième album studio, "I'm With You", chez Warner Bros Records le 30 août. Enregistré aux studios East West à Los Angeles et Shangri-la à Malibu, en Californie, il a été supervisé par leur producteur attitré depuis cinq disques, Rick Rubin. "I'm With You" est le successeur du double album "Stadium Arcadium". AP
xpan/jp

Hélène Claudot-Hawad, Éperonner le monde. Nomadisme, cosmos et politique chez les Touaregs, Édisud, Aix-en-Provence, 2001, 199 p.

Texte intégral

1L'une des questions centrales du dernier livre de H. Claudot-Hawad se rapporte à une interrogation philosophique et sociale très ancienne, celle de l'humanité des Autres. Interrogation qui apparaît sous cet angle abstrait et universel dans les traditions occidentales, rapportées par exemple par des Grecs tels Pline l'Ancien (page 7), qui parlait des « peuples étranges », c'est-à-dire des peuples non grecs. Dans cet ouvrage, l’auteur avance que, si l'altérité apparaît comme l'autre facette de l'identité, sa gestion au sein de chaque société manifeste des visions contrastées de l'ordre du monde. Les représentations et les valeurs d’une société à dominante nomade comme les Touaregs soulignent non pas l'opposition entre différence et identité, mais bien au contraire la nécessité d'un monde pluriel, comportant au moins deux éléments distinctifs, opposés et complémentaires à la fois — thème central du chapitre 7, « Identité et altérité d'un point de vue touareg ». Les divers aspects de la vie sociale et politique des Touaregs apparaissent influencés par ce modèle global.
2Une autre question guide le choix des textes rédigés par l'auteur entre 1989 et 1999, celle de la place et de l'organisation du politique dans cette société nomade au début du xxe siècle (page 8). Dans l'historiographie occidentale, les réponses des Touaregs face à l'occupation coloniale française, avaient été, en effet, présentées comme des faits relevant de choix aberrants, inexplicables, voire irrationnels. Or, tout au long des quatre premiers chapitres consacrés à cette question, H. Claudot-Hawad montre la rationalité des stratégies et des choix politiques adoptés dans cette situation de guerre coloniale. Parallèlement, la division conceptuelle et disciplinaire établie entre l'ordre tribal, censé intéresser les ethnologues, et l'ordre du politique, censé être le domaine des sociologues et des politologues, est profondément remise en question.
3Le modèle du politique n'échappe pas à la vision pluraliste des Touaregs ; l'auteur s'attache ainsi à montrer, en particulier, que l'exercice du pouvoir n'a aucun rapport avec l'image coloniale du « chef suprême », mais qu'il est formé par plusieurs figures sociales, dont l'interaction est seule productrice de légitimité du pouvoir politique. Parmi ces figures, celles du guerrier et du religieux ont été longuement traitées dans les travaux coloniaux et modernes. Or, contrairement à l'interprétation courante qui en soulignent l'opposition et la rivalité, H. Claudot-Hawad avance que dans le modèle touareg, ce qui apparaît comme structurel n'est pas le religieux, mais l'idée qu'il n'existe pas de pouvoir sans contre-pouvoir (page 9, chapitre 4, « Ordre sacré et ordre politique »). Un contre-pouvoir qui peut être interprété par diverses figures sociales : l'artisan, l'initié, la femme… (thème abordé dans le chapitre 5, « Personnages de l'entre-deux »), qui loin d'être figées, sont dynamiques et sujettes à des transformations dans le temps (chapitre 8, « Captif sauvage, esclave enfant, affranchi cousin. La mobilité statutaire chez les Touaregs »).
4Il est précisé également que le pouvoir politique, notamment en cas de crise, n'est pas endossé systématiquement par les guerriers nobles comme on le pense couramment (thème traité notamment dans le chapitre 6, « Élite, honneur et sacrifice »). Le dernier chapitre, « L'oubli du désert » (pages 183-192), aborde le grave sujet de la destruction de la gestion nomade du territoire, dans le contexte des États-nations modernes et des exploitations de pétrole, d'uranium et de charbon (création de frontières, sédentarisation, routes, désastres écologiques…). « Aussi, l'État moderne qui se trouve en rupture avec les lois de la nature incarne-t-il d'un point de vue nomade la barbarie, et chacune de ses mesures dénote-t-elle l'inadéquation fatale entre le cycle des hommes et le cycle de l'univers, conduisant inexorablement au dérèglement du monde et à l'extinction de la vie ». (p. 192).
5Les riches données présentées par l'auteur et ses hypothèses théoriques intéressent les spécialistes, mais elles alimenteront aussi sans doute les recherches comparatives avec des sociétés sahariennes voisines. Ainsi, par exemple, on pourra constater que dans la société bidân ("maure") majoritaire en Mauritanie, se sont concrétisées les mêmes représentations coloniales qui séparaient la dimension politique de la sphère religieuse, fixant des statuts sociaux "guerrier" et "religieux", autrement dynamiques ; de même, l'idée du "chef suprême" censé agir et décider en toute solitude, comme si les contre-pouvoirs — internes et externes aux groupes de parenté — étaient inexistants. Si en pays touareg les administrateurs parlaient de "sultan" ou d’"amenukal", chez les Bidân ils préféraient parler d’"émir", ou de "chefs de tribu", autant de figures politiques qui, à force d'être imaginées et décrites sous cet angle par les observateurs coloniaux, ont fini par convaincre certains auteurs de leur véracité historique. Les études comparatives pourraient aussi apporter des réponses à des questions importantes, comme les raisons de l'éloignement culturel et politique des sociétés bidân et touarègue qui, comme le soutient H. Claudot-Hawad [Touaregs. Apprivoiser le désert, Gallimard, 2002], s’inscrivaient [au moins jusqu'au xviie siècle] dans un continuum socio-culturel au Sahara.
6Le tableau général de la situation sociale et politique actuel des Touareg que nous présente H. Claudot-Hawad est très grave, marquée par la « fragmentation extrême de l'espace politique ». La rébellion des années 1990 illustrerait « le malaise né de l'étouffement du "politique", de ses structures et de ses dynamiques, pour aboutir à une rétraction de la société à l'échelle tribale, familiale, individuelle, aggravant la marginalisation des êtres, l'opacité de leur avenir et la violence prévisible des réactions qui émailleront encore cette lente extinction ». (p. 80). On peut se demander cependant si cette extinction annoncée — terrible, effrayante, injuste — concerne tous les Touaregs ? La réponse est apportée dans une autre publication [Ibidem supra, Gallimard, 2002] qui évoque la diversité des situations vécues par les divers groupes touaregs selon les pays où ils habitent : grands programmes autoritaristes de sédentarisation planifiée dans les années 1970-80 par les États arabo-musulmans (Libye, Algérie) ou interruption brutale et tragiquement improvisée du mode de vie, des activités économiques pastorales ou commerciales, dans les États sahéliens pour cause de misère et de guerre suite aux sécheresses de 1974 et 1984 ou lors des conflits armés et des répressions sanglantes menées dans ces Etats notamment de 1990 à 1996.
7Sur le plan de la forme, enfin, on apprécie les belles photos choisies dans ce livre, mais on regrette l'inexistence d'index des noms de lieux, des noms de personnes et des notions évoquées qui auraient facilité la lecture aussi bien des spécialistes que du grand public.
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Pour citer cet article

Référence électronique

Mariella Villasante-Cervello , « Hélène Claudot-HawadÉperonner le monde. Nomadisme, cosmos et politique chez les Touaregs, Édisud, Aix-en-Provence, 2001, 199 p. », Revue des mondes musulmans et de la Méditerranée [En ligne] , 99-100 | novembre 2002 , mis en ligne le 02 août 2011, Consulté le 04 août 2011. URL : http://remmm.revues.org/index1193.html
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DELESTAGES AU NIGER : Le cordonnier mal chaussé

jeudi 4 août 2011
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Le Niger, le pays de Hamani Diori, a célébré, le 3 août dernier, la cinquante et unième année de son accession à l’indépendance. Cinquante et un ans de souveraineté et d’autodétermination politiques, ça se fête avec faste. Surtout pour un pays qui a le vent en poupe, et qui fait la pige aux autres dans la sous-région, depuis l’organisation réussie et sans grabuge du dernier scrutin présidentiel. Une élection à l’issue de laquelle vainqueur et vaincu ont décidé de se tenir les coudes dans l’intérêt supérieur de la nation. Et c’est malheureusement en ce moment que des hommes en treillis, sans doute réfractaires à toute démarche démocratique, ont voulu attenter à la vie du chef de l’Etat.
L’Afrique n’a plus besoin de soldats d’opérette, mais de soldats consciencieux et responsables qui ne perdent jamais de vue le sens de leur sacerdoce. Toutefois, s’il est vrai que le Niger a réalisé un exploit en matière de démocratie et de bonne gouvernance, on en vient à déplorer qu’en cinquante ans d’indépendance, il soit en proie à des délestages intempestifs. En effet, depuis plusieurs jours, le pays est paralysé par de longs délestages qui perturbent toute activité économique et sociale si fait que des habitants, fort exaspérés, ont envahi les rues pour manifester publiquement leur ras-le-bol. Cela est pour le moins regrettable si l’on sait que le Niger est présenté comme le premier pays africain producteur de l’uranium, matière première dont se servent bon nombre de nations industrialisées pour produire de l’énergie nucléaire.
Certes, le Niger n’a pas suffisamment de moyens, nous dira-t-on, pour se doter d’une centrale nucléaire. Mais, à moins qu’il n’y soit totalement opposé, qu’est-ce qui l’empêche de poser ce besoin comme un préalable dans la signature des contrats d’exploitation avec ses partenaires étrangers ? Qui plus est, leNiger est un des pays sahéliens où rien que la lumière solaire à elle seule, si elle était valorisée, pourrait résoudre durablement ces récurrents problèmes de coupures d’électricité qui suscitent indignation. En vérité, le Niger, au regard de ses énormes potentialités, aurait pu produire de l’énergie au point d’en exporter. C’est vrai qu’il est prévu de coupler au barrage de Kandadji une centrale hydroélectrique de 130 mégawatts.
Mais, en attendant, voilà le Niger groggy comme un cordonnier qui s’échine à ressemeler les souliers des autres alors que les siens sont dans un état piteux. Et dans ce sillage peuvent être logés bien des pays africains comme le Congo Brazzaville, la République démocratique du Congo, le Nigeria, la Guinée, etc., qui constituent des scandales géologiques, mais qui, en matière de politique énergétique, tirent le diable par la queue, obligeant ainsi les populations à s’indigner publiquement.
Le comble de l’indignation, c’est surtout quand on apprend qu’en dépit de tout, le Niger dépend à 80% duNigeria pour son électricité. Il est pourtant peu de dire que quiconque dépend du Nigeria sera régulièrement éprouvé, puisque ce pays est constamment en proie à des turbulences sociales de tout genre. A vrai dire, il est temps que les dirigeants africains prennent la mesure du péril pour mener un diagnostic sérieux et sans complaisance sur les sempiternels problèmes de délestages, car toute politique de développement en dépend.
Boundi OUOBA
Le Pays

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1 Message

  • Bonjour,
    A un moment donné où le monde entier remet en cause l’énergie nucléaire, vous voudriez avoir une centrale nucléaire ? Vous n’avez pas vu ce qui s’est passé au Japon et aux USA, le mois dernier (deux centrales inondées dans le Nébrasca) ?
    Je voulais vous poser une question : que pensez-vous de la marée noire qui dure depuis plus de 50 ans dans le golfe du Niger ? Ne serait-ce pas plutôt de cela qu’il faudrait s’indigner ? Connaissez-vous cette prédiction de Géronimo :
    Quand le dernier arbre aura été abattu, quand la dernière rivière aura été empoisonnée , quand le dernier poisson aura été péché, alors on saura que l’argent ne se mange pas.
    Bonne après-midi.

NIGER-GUINEE : Les présidents, leurs armées et leurs transitions


00:05 04.08.2011
A l’issue des élections présidentielles en Guinée et au Niger, des messages avaient afflué de partout pour saluer et féliciter les militaires qui s’étaient sacrifiés pour leurs nations respectives, en organisant des consultations électorales à la faveur desquelles, ils remettaient le pouvoir entre les mains de présidents civils. N’est-ce pas là, l’explication de la promotion dont a été gratifiée le général Sékouba Konaté, au lendemain de l’investiture d’Alpha Condé, le 21 décembre 2010 ? Mais avec les derniers événements dans ces deux pays, on en serait à se demander si les félicitations ne sont pas arrivées un peu trop tôt. Quoiqu’il arrive, au Niger et en Guinée, respectivement, les événements de la nuit du 12 au 13 et du 19 juillet dernier, laissent croire que certains militaires caressent encore le rêve de "re-goûter" aux délices du pouvoir... 0:05 4-8-2011

lundi 1 août 2011

Tinariwen Plays "A Dunya" Live on Soundcheck

Tamikrest en concert





Rendez-vous en France à Fontaine dans 131 jours

Le samedi 10 décembre 2011 


Concert - Musique du monde World MusicMusique Africaine


Sortir a Fontaine - France


Un groupe bouleversant.

Nouvelle génération de musiciens touaregs aprèsTinariwenTamikrest chambarde l'ordre (et bouleverse tout court) en ajoutant influencesreggae et rock psyché au blues du désert. (les inrocks). Avec leur deuxième albumToumastin, les jeunes de Tamikrest créent leur propre univers utilisant des couleurs encore plus brillantes.

L’enchantement mystique des chants capture l’oreille immédiatement ; le groupe établit un rapprochement entre le Blues africain, le funkpsychédélique et un genre étrange de “désert garage”. Les guitares sont plus offensives, legroove plus profond et les chants Tamashekscandés se mélangent avec les riffs de guitare comme une caravane de voyageurs errant à travers le passé. Tamikrest est prêt à embrasser l’avenir tout en maintenant fièrement la riche tradition de son peuple.


Avec Tamikrest
Invitée : Amina

Prix donné à titre indicatif et susceptible de varier selon les frais de location