Focus on the MNLA Youwarou attacks, and Hombori Tenenkou
On the night of Saturday, February 19, 2012, the MNLA extends its operation to the south of Mali for an advanced military in the liberation of Azawad by making the release of the cities of Youwarou, Hombori and Tenenkou in the Mopti region . TheMNLA and put his threat into execution according to our press release datedThursday, February 17, 2012 relating to air raids on Malian military planes of civilians azawadiens.
The MNLA reaffirms the well-being of all its components Azawad remains the central objective.
To attack Hombori, the MNLA deplores the death of the headman of the locality andcondemns in the strongest terms. The village chief of Hombori was murdered by the police services of Mali to strengthen its campaign of misinformation and disinformation and bring discredit to our struggle.
Our armed forces have confirmed that no vehicle or any civil well has been key in their operation and that only the brigade of the gendarmerie and the customs department were concerned. 









Mise au point du MNLA sur les attaques de Youwarou, Hombori et Tenenkou
Dans la nuit du Samedi 19 Février 2012, le MNLA étend son action plus au sud du Mali par une  avancée  militaire dans la libération de l’Azawad en procédant à la libération des villes de Youwarou, de Hombori et de Tenenkou dans la région de Mopti. Le MNLA met ainsi sa menace à exécution conformément a notre communique de presse du Jeudi 17 Février 2012 relatif aux bombardements aériens des avions militaires malien sur des civils azawadiens.
Le MNLA réaffirme que le bien-être des populations de l’azawad dans toutes ses composantes demeure son objectif central.
Pour l’attaque de Hombori, le MNLA déplore la mort du chef de village de cette  localité et la condamne par la dernière rigueur. Le chef de village de Hombori a été assassiné par les services de la gendarmerie maliennes pour renforcer sa campagne de désinformation et d’intoxication et porter un discrédit à notre combat.
Nos forces armées nous ont confirmé qu’aucun véhicule ni bien civils quelconque n’a été touche au cours de leur opération et que seules la brigade de la gendarmerie et la direction des douanes ont été concernées.